🦛 Comment Apprendre La Révérence A Son Cheval

Gandalf a besoin de la travailler, mais il sait faire la révérence. Pour lui apprendre, j'ai utilisé un truc simple et clair ! Il faut juste que le cheval ait une bonne base de travail en liberté et que le respect soit bien assimilé. La révérence 1 Tenez le cheval en main, en licou, avec une badine dans la main. Préparez-le en passant votre main sur ses antérieurs et en lui demandant de lever le pied comme pour le curer. 2 Habituez-le à garder la tête basse, en lui donnant par exemple une petite brassée de foin pendant que vous touchez ses antérieurs. 3 Lorsqu'il est calme et concentré sur vous, positionnez-vous face à son garrot, à sa gauche. Placez les deux mains à plat au-dessus de l'épaule et appuyez. Dès que vous sentez que le cheval déporte son poids de l'autre côté, arrêtez la pression et félicitez. S'il ne met pas son poids du côté droit, accentuez la pression, jusqu'à ce qu'il cède. S'il venait à avancer, corrigez en tirant brièvement la laisse, que vous gardez bien sûr en main tout en appuyant près du garrot. 4 Le but est de l'amener à dégager le poids de son antérieur gauche, puisque c'est celui-ci que vous souleverez. Lorsque cette étape est bien réussie elle demande d'ailleurs une grande patience et beaucoup de finesse, car le cheval a souvent le réflexe de s'appuyer plus fortement sur l'antérieur qu'on veut dégager, la moitié du travail est faite. 5 Appuyez pour déporter le poids, et cette fois-ci, à l'aide de votre pied, touchez doucement l'antérieur gauche. Si le cheval le soulève, stoppez la pression sur le garrot. S'il ne réagit pas, accentuez autant avec le pied qu'avec les mains. Dès qu'il réagit, arrêtez tout. 6 Quand le cheval levera le pied facilement, attrapez-le d'une main tout en conservant l'autre au garrot. En appuyant doucement pour déporter le poids, amenez la jambe vers l'arrière. Étirez sans pousser jusqu'à sa limite s'il finit par essayer de se dégager, vous êtes allés assez loin pour cette fois. Ne finissez pas sur cette note négative et retentez en étirant l'antérieur moins loin. 7 C'est le moment de sortir la carotte ! Faites-en bon usage, vous n'aurez droit qu'à une ou deux par séance, pas plus autrement, le cheval finira par vous bouffer littéralement la main.. ! Placez votre main entre ses antérieurs et attirez sa tête vers la carotte sans toucher au licou attendez que la gourmandise prenne le dessus. Ça ne prendra pas longtemps, il baissera la tête entre les jambes. 8, Habituez-le finalement à baisser la tête tout en gardant un antérieur levé, ce qui demandera plus de temps. Il cherchera son équilibre, et finira par poser le genou gauche par terre. Quelques précisions capitales - Laissez-lui le temps de trouver son équilibre et de se positionner le plus naturellement possible ; - Effectuez l'apprentissage en plusieurs courtes séances réparties sur quelques jours ; - Faites TRÈS attention à votre tête. On oublie souvent qu'on travaille près du sabot, et pourtant, il suffit que le cheval tente de se dégager pour nous casser une dent ... ou pire. Alors demeurez bien droit, et si vous avez à vous pencher, restez de côté car n'oublions pas que le cheval n'est capable que de mouvements avant-arrière, et non latéraux en vous servant de vos jambes pour vous abaissez, et non de votre dos ; - Le moins de friandises possible, l'arrêt de la demande ou la caresse doivent demeurer ses principales motivations ; - Associez un mot à l'action, en disant par exemple Salut ! ; - Les premiers temps, attention à ne pas confontre 'Donne ton pied' et 'Fais une révérence'. Si vous aviez l'habitude de curer les sabots de la même manière que vous demandez le salut, il pourra y avoir confusion. Bon travail !

Marcheà la longe et lui apprendre à rester calme et concentré. Acquisition de l'interdit par le mot : « NON. »- L’ouïe du cheval – une oreille hypersensible. On peut séparer l’oreille en 3 grandes parties : L’oreille externe (Pavillon et Conduit auditif) : Le son est sous forme de vibration de l’air. Le cheval a un pavillon très mobile qui lui permet de s’orienter dans la

^{Vous êtes ici Accueil / Livres / [LECTURE] L’équitation classique dans le respect du cheval Avec un titre pareil et une couverture juste parfaite, je ne pouvais pas passer à côté de ce livre dont j’admire déjà l’équitation de l’autrice Anja Beran. Simplement parce que sur toutes les photos vous pouvez observer un véritable rassembler avec un abaissement caractéristique de l’arrière-main et le tout présenté en descente de main avec des rênes franchement détendue. en bref, il n’y a rien de mieux que ça pour me faire rêver et susciter mon admiration. Le cheval et le cavalier Après l’introduction, le livre débute avec un premier chapitre relatif au cavalier puis au cheval. Des réflexions simples mais néanmoins importantes sont apportées concernant le physique du cavalier qui doit rester sportif et surveiller son poids. Puis viennent les précisions sur l’attitude mentale de celui-ci et c’est effectivement quelque chose d’important à relever car des difficultés à gérer vos émotions, le manque de concentration, de discipline ou d’assiduité auront un impact conséquent sur votre capacité à progresser dans votre pratique. Le désir d’apprendre est une notion essentielle et indispensable que vous devrez donc chercher à nourrir et entretenir à condition bien sûr de connaître déjà les sujets qui vous intéressent. C’est en sachant précisément ce que vous voulez que vous pourrez vous fixer des objectifs motivants. Viennent ensuite des commentaires habituels à propos notamment de la tenue d’équitation, la position du cavalier mais aussi du choix de l’enseignant. Dans la partie consacrée au cheval, on commence avec le choix du cheval et il est souvent rappelé qu’il faut choisir son cheval avant tout en fonction de la discipline que vous visez. Il sera effectivement plus facile de dresser un cheval pour sa discipline de prédilection plutôt que de vouloir s’obstiner dans une discipline pour laquelle il n’est pas naturellement doué. Cela risquerait d’être décourageant et pour lui et pour vous car vous ne vous ferez pas autant plaisir qu’avec un cheval prédisposé pour la discipline que vous visez. C’est donc en prenant ces informations là en compte que vous devrez faire votre choix et Anja Beran partage avec vous ses critères de sélection pour vous y aider. Ensuite viennent les considérations qui suivent immédiatement l’achat d’un cheval à savoir, où le loger et comment le soigner. Voilà des sujets évidents pour les cavaliers déjà propriétaires de leur équidé mais qui aidera certainement ceux qui ne le sont pas encore et qui se posent des questions à ce sujet. Et enfin, on termine ce chapitre avec le choix de l’équipement du cheval de dressage avec le choix du filet, de la bride, de la selle, de la muserolle, des éperons ect… Anja Beran Le dressage du cheval Après avoir passé en revu le cavalier et le cheval, il est temps de commencer à rentrer dans le vif du sujet, à savoir le dressage du cheval. Naturellement, le chapitre commence par le débourrage et toutes les étapes nécessaires à l’acceptation du cavalier jusqu’à l’apprentissage du langage des aides du cavalier ce qui comprend également l’apprentissage de la cession à la jambe et du reculer. Une fois ces bases installées prend alors place le travail du jeune cheval qui décrit en réalité tous les exercices de bases que devrait connaître n’importe quel cheval à l’issue de son dressage et ce, quelque soit la discipline visée. Ce chapitre comprend donc toutes les étapes qui je crois ont été décrites dans l’ordre chronologique de leur apprentissage. On commence depuis les figures de manèges et l’épaule en dedans jusqu’aux changements de pied en l’air en passant entre temps par quelques étapes importantes comme la transition du filet vers la bride, la mise aux éperons. On trouve également dans ce chapitre quelques remarques à propos de l’ostéopathie équine, les enrênements et l’apprentissage de figures moins conventionnelles comme le pas espagnol et la révérence. Le travail du cheval avancé continue avec le passage, la pirouette, les changements de pieds rapprochés et les allongements. Enfin, le travail du cheval dressé comprend cette fois tous les airs de haute-école les plus aboutis comme le galop sur place, le perfectionnement du piaffer et les airs relevés. Le livre se termine avec une partie sur l’anatomie du cheval rédigée par Gerd Heuschmann dont j’avais déjà chroniqué les deux livres ici. Dans cette partie, il nous décrit précisément les grands groupes musculaires et leur rôle ainsi que les dangers que peuvent représenter certains outils de l’équitation moderne comme les rênes allemandes sur ses groupes musculaires mais aussi la tension excessive des rênes qui est tout aussi nocive ou encore un travail trop précoce aboutissant à un fonctionnement locomoteur incorrect le fameux jeté d’antérieur que l’on voit au trot allongé en concours de dressage avec comme conséquences entre autres de bloquer le fonctionnement du dos du cheval pouvant aller jusqu’à la boiterie chronique. Ce que j’en pense… Cet ouvrage rédigé par Anja Beran, cavalière allemande aux influences très classiques, se veut vraiment accessible à toute personne ayant la volonté de s’intéresser à l’équitation classique, héritage des grands maîtres de l’histoire de l’équitation. Elle aborde tous les sujets de façon simple et concise en commençant par les bases les plus connues et évidentes puis en évoquant de façon chronologique le travail du cheval depuis le débourrage jusqu’aux airs relevés. C’est un livre assez généraliste qui n’est pas un traité d’équitation ni une méthode en soi. Il n’est pas conçu pour vous donner les clés pour dresser ou débourrer vous-même votre cheval. D’ailleurs l’auteure le mentionne régulièrement dans les chapitres les plus délicats en recommandant de vous faire aider par une personne expérimentée. En revanche, c’est un livre qui reprend l’essentiel à savoir sur l’équitation classique. Il y a un commentaire sur chaque figure, chaque sujet et parfois quelques indications techniques pour vous aider à réussir les figures qui posent le plus de problèmes de manière générale. La progression choisie par l’autrice laisse transpirer des tendances bauchéristes qui témoignent ainsi de l’influence des grands maîtres dans son équitation et dans ses méthodes nous sommes bien loin donc du dressage de compétition. La partie sur l’anatomie est intéressante pour toute personne ne connaissant pas déjà les ouvrages de Gerd Heuschmann, sinon ce sera un simple rappel pour vous. Pour ma part, cette lecture m’a permis surtout de me rendre compte d’où j’en suis dans le travail avec mon cheval et de visualiser les prochaines étapes à voir avec lui. Je me suis d’ailleurs forcée à ne pas lire les chapitres sur les exercices que je sais trop avancés pour nous afin de ne pas être tentée de vouloir les essayer malgré tout. C’est un livre général, qui parlera à quiconque s’intéresse à l’équitation classique et aux grands maîtres de l’équitation. La grande variété des sujets traités vous permettra d’en tirer un apprentissage et de pouvoir vous situer dans votre progression quelque soit votre niveau actuel. Acheter L’équitation classique » de Anja Beran} Pourenseigner ce tour, vous aurez besoin des friandises préférées de votre chat. Montrez la friandise à votre chat et placez-la lentement au-dessus de sa tête puis donnez la commande « Les heures supplémentaires Toutes les heures effectuées au delà de la durée légale hebdomadaire du travail 35 heures sont des heures supplémentaires. Le décompte Les heures sont décomptées par semaine civile en fonction de leur nombre réel. C’est à dire qu’une semaine à cheval sur deux mois sera rémunérée sur le deuxième mois. Exemple Un salarié travaillant 35h par semaine, travaille comme suit la semaine 14 de l’année 2020 Lundi 9h – Mardi 6h – Mercredi 8h – Jeudi 7h – Vendredi 8h Au total notre salarié a travaillé 38h. Cette semaine étant à cheval sur le mois de mars et de avril nous lui rémunérerons 3 heures supplémentaires sur le bulletin de paie du mois d’avril. Et ce même si des heures supplémentaires ont été effectuées en début de semaine soit au mois de mars. La majoration Les heures supplémentaires sont majorées de 25% pour les 8 premières soit de la 36ème heure à la 43ème. Les suivantes seront majorées à 50%. Sauf convention collective qui dans ce cas peut être plus ou moins favorable. Le temps de travail effectif Il s’agit de la période au cours de laquelle un salarié doit respecter les directives de son employeur, sans pouvoir s’adonner à des occupations personnelles article L 3121-1 du Code du travail. Sont donc exclus sauf dispositions conventionnelles plus favorables les jours fériés chômés, les jours de congés payés, les absences pour maladie, les pauses, etc… Cette notion est très importante dans le calcul des heures supplémentaires car seul le temps de travail effectif pourra être pris en compte pour déterminer le nombre d’heures à majorer. Exemple Un salarié travaille 35h par semaine. Semaine 19 de l’année 2020 il travaille 33h auquel s’ajoute le jour férié chômé du 8 mai. Théoriquement 33 + 7 = 40h. Mais les 5 heures ne sont pas considérées comme des heures supplémentaires, le 8 mai n’est pas du temps de travail effectif puisqu’il a été chômé par le salarié. Il convient donc de payer ces 5 heures au taux normal. Limite des heures supplémentaires 10h par jour 8h pour les travailleurs de nuit 48h par semaine en respectant une moyenne de 44h sur 12 semaines consécutives Autres articles

Sivous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute lire mon guide qui vous explique les 7 secrets de l'artiste peintre professionnel. cliquez ici pour télécharger le livre gratuitement ! Avec cet article “ Apprendre à dessiner un cheval ” je commence une série d’articles ou un tutoriel plutôt : “Comment dessiner un cheval”.

Difficulté + + + Les aspirations Le cheval doit connaître les déplacements des hanches et des épaules avec une pression. Le principe est que le cheval se déplace vers vous sans que vous ne le touchiez, sur la photo ci dessus nous nous déplaçons tout deux en pas de coté vers notre gauche. Pour cela commencez par, avec votre stick, agir sur la hanche qui est de votre coté, sur le haut de celle ci, vous poser le stick => le cheval se pousse pour céder à sa pression, félicitez. Il ne doit pas avancer, juste mobiliser ses hanches. Quand c'est acquis sur les deux cotés, agissez avec votre stick sur la hanche qui est de l'autre coté du cheval par rapport à vous si vous êtes à sa gauche, touchez le haut de la hanche droite, il aura surement du mal à comprendre qu'il doit "vous pousser" puisque vous lui aurez inculqué le respect de votre espace mais soyez claire, encourager le, c'est généralement un moment ou les neurones s'emmêlent mais à force de patience il comprendra, si besoin repasser de l'autre coté. A terme vous devriez pouvoir supprimer la pression du stick pour réussir à reproduire ce que vous voyez sur la photo. Pour mobiliser les hanches, placez le stick sur les hanches, pour déplacer les épaules placez le sur l'encolure et pour réaliser des cessions placez le au centre. Difficulté + + + Exercice débloqué le coucher A genoux Le cheval doit connaître la révérence, la réaliser en équilibre et la tenir, sinon votre cheval ne pourra physiquement pas faire la méthode que je propose. En position de révérence vous devez décaler le poids de votre cheval sur le membre qui est un genou au sol afin de dégager le membre tendu. Il vous faudra ensuite stimuler le membre tendu comme pour demander une révérence sur celui ci pour qu'il vienne naturellement se plier également. Ainsi vous obtiendrez la mise à genoux, c'est aussi difficile de faire comprendre à son cheval se que l'on veut exactement alors patience et soyez rigoureux dans votre demande. Difficulté + + + Le coucher Graal de tout cavalier, il faut cependant ne pas être pressé d'arriver au but et savoir se frustrer pour respecter pleinement le cheval combien de cavalier sautent sur leur cheval dès qu'il est au sol pour le maintenir ou juste pour pouvoir profiter de leur cheval, c'est humain mais penser à lui, aura t il envie de recommencer sachant qu'on va automatiquement l'embêter ?, le plus important est de le laisser aimer cet acte. Si vous avez appris la mise à genoux le coucher viendra extrêmement facilement, vous n'aurez en effet qu'à pousser plus exactement inciter doucement votre cheval à se poser au sol, le coucher étant une position bien plus confortable que le à genoux. Une astuce encore plus simple est de l'apprendre en douchant votre cheval, en général ils adorent se rouler en étant mouillé, il faut donc profiter de l'occasion ! Amenez votre cheval dans l'endroit ou il aime se rouler, en général un sol profond et sec, avec un très longue longe essayez de lui faire comprendre qu'il peut faire ce qu'il veut, repoussez le de vous suivez le en restant discret, restez loin au début puis réduisez la distance très progressivement. S'il finit par se rouler laisse le apprécier ! Recommencer l'opération chaque jour, en le laissant apprécier SEUL, quand cela devient un automatisme vous pouvez penser à associer un ordre, adopter une posture particulière, un ordre vocal et/ou gestuel, et donnez le quand il s'apprête à descendre, répétez de nouveau sur plusieurs jours toujours sans vous approcher. L'ordre devrait commencer à être associé au geste, essayez de déclencher vous même le coucher par votre ordre, soyez moins discret et demandez lui vraiment. Quand le cheval répond parfaitement à votre ordre félicitez le bien fort de la voix ne mettez pas trop d'énergie en vous, soyez calme et décontracté pour ne pas le stimuler et lui donner envie de se relever trop vite, vous pouvez récompenser avec une friandise, non pas pour le maintenir au sol mais pour récompenser l'énorme dont de lui dont il vous fait cadeau. Apaisez le quand il est au sol, ne cherchez pas à le maintenir au sol, s'il se relève vite ce n'est pas grave, il tiendra plus longtemps demain ! Si votre but immédiat est d'avoir un coucher de longues secondes dans les premiers, oubliez. Vous pouvez d'ailleurs lui demander vous même de se relever avant qu'il soit lassé et qu'il ne se relève de lui même, il comprendra vite qu'il doit attendre votre ordre pour se lever et pourrez aisément travailler la durée sans jamais abuser de sa gentillesse ! ;. Equipement photo 1 T-shit Sellerie my horse forever, pantalon HKM, bottes fouganza. Equipement photo 2 Longe et licol La sellerie ethologique, Veste CSI 5* Equi-thème. ^{0°0°0° Apprendre le cabrer à son cheval °0°0°0° Pour répondre à une question qu'on m'a beaucoup posé, voici comment j'ai appris à Naïade à se cabrer. A pied Ca doit maintenant faire environ un peu plus d'un an et demi que je le lui ai appris. A cette époque, cela faisait quelques mois que j'avais abandonné la méthode classique pour la méthode du Haras} Chaque fois que je parle de travailler avec un cheval sans utiliser de friandises, une même question finit par m’être posée mais alors comment le motiver ? Parfois, on me dit même directement que sans la nourriture les chevaux n’ont aucun intérêt à échanger avec nous ! Pourtant, je travaille avec les chevaux depuis plus de 10 ans et je n’ai jamais utilisé de friandises pour en motiver un seul. Je vous explique comment c’est un cheval, qu’est-ce que ça signifie ? Motiver un cheval à travailler avec nous, cela signifie simplement lui donner envie de le faire. Nous autres êtres humains avons indissociablement associé travail et pénibilité. De ce fait, nous partons du parti-pris qu’il en est de même pour le cheval. Puisque travailler lui est forcément pénible, il faut bien trouver une astuce, un truc pour lui donner envie de le faire. C’est tout simplement de l’anthropomorphisme. En effet, le cheval ignore le concept même de travail. Il ne considère absolument pas ses interactions avec nous comme une activité qui doive être rétribuée. Cette idée n’a absolument aucun sens pour lui. Avez-vous déjà vu un cheval effectuer une tâche pour un autre et obtenir de la nourriture en récompense de son effort ? Cela ne fait absolument pas partie du répertoire comportemental des chevaux. N’ont-ils pas une chance inouïe ? Ils ignorent tout du travail et des obligations !! Pour votre cheval, une interaction avec vous est donc… simplement une interaction avec pourquoi tant de gens utilisent-ils des friandises pour donner envie au cheval d’échanger avec eux ?Ils le font car la nécessité de se nourrir et de consommer des aliments riches et nourrissants est profondément inscrite dans l’inconscient de tous les animaux – nous y compris. De ce fait, la grande majorité des animaux est prête à faire tout son possible pour obtenir un aliment gras et sucré. Ce qui facilite grandement l’obtention d’un résultat. Les chevaux n’échappent pas à la règle, et de la même façon qu’un enfant apprend très vite à appuyer comme il faut sur les boutons d’un distributeur de bonbons, un cheval apprend très vite quel geste il faut faire pour faire jaillir une friandise de la poche d’un être humain. L’analogie n’est-elle pas intéressante ?Si c’est plus facile avec, pourquoi travailler avec un cheval sans friandises ?Pour une question de qualité Pour ma part, je n’ai jamais voulu qu’un cheval me confonde avec un distributeur de bonbons. D’abord, parce que cela met les chevaux dans un état de tension interne, ce qui est tout à fait néfaste pour eux, psychiquement comme physiquement. Ensuite, parce qu’alors les interactions qu’ils ont avec nous sont à mon sens tout à fait inintéressantes car elles sont automatisées et ne s’inscrivent pas dans un véritable échange énergétique. Enfin, parce qu’un cheval qui fait un geste pour obtenir une friandise le fait même s’il n’y prend pas de plaisir, et qu’il peut même faire ce geste malgré le fait qu’il lui soit douloureux ou inconfortable. Or, je considère que c’est l’exercice lui-même qui doit plaire au cheval, et non la récompense qu’il en obtient, et que l’exercice ne doit jamais lui nuire. Et c’est là un premier élément de réponse à la question posée dans le titre de cet article. Je privilégie la qualité à la quantité. Pour s’adapter au cheval plutôt que lui s’adapte au cavalierSi un cheval n’est pas motivé par le travail que vous lui demandez, c’est qu’il n’y prend pas plaisir. Ce que vous lui proposez ne lui plait pas. Il vous faut comprendre pourquoi et déterminer ce que vous pouvez modifier pour que l’exercice lui apporte du donné que le cheval ne comprend pas le concept du travail, vous devez vous-même voir les choses différemment. A vous de vous adapter à sa conception des choses. Vous allez donc non pas le travailler mais passer un moment avec lui et communiquer avec lui. Vous verrez que le simple fait de changer la façon dont vous considérez les choses induit aussitôt un changement subtil en vous ainsi qu’en votre cheval. Les moment que vous passez ensemble doivent vous faire penser à des moments entre amis. C’est avec douceur et finesse que vous devez donner envie à votre ami cheval de vous suivre dans les activités que vous lui proposez. Prenez-le là où il est, psychologiquement, émotionnellement et physiquement, et amenez-le avec patience là où vous souhaitez aller. Que vous souhaitiez évoluer avec lui à pied ou sur son dos, et peu importe la discipline, il faut toujours procéder de la même Devenez amie avec votre chevalSi vous souhaitez que votre cheval ait envie de faire des choses avec vous et pour vous, vous devez d’abord lui montrer que vous êtes une personne de confiance. Une personne fiable, constante, joyeuse, et attentive à lui. Pour cela, commencez par passer du temps avec lui afin de nouer une jolie relation. C’est vraiment un point cela ne signifie pas qu’il est impossible d’échanger avec un cheval sans avoir passé des heures avec lui à ne rien faire au préalable. Une relation forte peut naître dès les premiers instants que l’on passe avec un cheval, pour peu qu’on s’y prenne s’il s’agit de votre cheval ou d’un cheval dont vous vous occupez, vous ne perdrez jamais votre temps à prendre soin de lui. A condition bien entendu de lui offrir ce qu’il apprécie lui et non ce qui vous fait plaisir à vous. Par exemple, rester deux heures attaché pendant qu’on lui brosse les crins et qu’on lui fait de belles nattes n’est pas précisément agréable pour un cheval. Préférez le masser ou le gratter si et où il vous le demande. Chassez les insectes qui l’importunent en été, ou asseyez-vous simplement près de lui pour méditer ou votre cheval vous apprécie, il sera plus facilement enclin à accepter une interaction avec premier point était l’objet de mon dernier article, que je vous invite à lire si vous l’avez manqué Vous voulez devenir amie avec votre cheval ? Lisez l'article ! 2_ Mettez en place une communication claire avec votre chevalLa clarté de votre communication avec votre cheval est effet, un cheval qui ne vous comprend pas ne vous considère pas comme un élément signifiant de son environnement. Il sera donc bien plus intéressé par les mouvements des autres chevaux et animaux, les bruits environnants, les véhicules, les odeurs, etc que par votre incompréhensible charabia. Hélas, à force d’utiliser mille façons de dire la même chose, de contredire leurs gestes par leur posture, de s’énerver soudainement pour une action qui a été tolérée des dizaines de fois et d’arrêter leur demande trop tôt ou trop tard, beaucoup de gens poussent leurs chevaux à ne plus leur prêter attention. Apprenez à bien communiquer avec votre corpsPour éviter cet écueil ou pour vous rattraper si votre cheval ne vous écoute déjà plus, vous devez absolument travailler votre perception de l’espace, votre conscience de votre corps et de ses mouvements, et vous tenir à une façon de communiquer qui soit rigoureusement constante. Au besoin, faites-vous aider par un professionnel qui vous aidera à poser des bases de bonnes bases avant de chercher la difficultéAvant de demander à un cheval des choses telles que trotter ou galoper en cercle autour de vous ou se déplacer latéralement, il doit déjà savoir Marcher à votre épaule. S’arrêter lorsque vous vous arrêtez. Tourner avec vous dans les deux sens. Changer de main. Tout ceci au pas puis au trot. Alors seulement, quand vous avez les bases, vous pouvez aborder des exercices plus compliqués. Si vous brûlez les étapes, il y a fort à parier que votre cheval se trouvera en difficulté pour répondre à vos demandes qu’il ne comprendra pas ou qu’il n’aura pas appris à considérer comme importantes. Il perdra alors confiance et avec un cheval, on gagne du temps à prendre son temps !3_Assurez-vous que votre cheval soit capable de répondre à votre demandeSi vous demandez trop, votre cheval perdra confiance Si vous avez une bonne relation avec votre cheval, que vous savez communiquer clairement avec lui mais qu’il ne montre aucune motivation à répondre à vos propositions, c’est peut être que par le passé vous lui avez demandé des choses qui lui ont trop coûté et qu’il n’a plus confiance en lui ni en vous. Les chevaux étant généreux et généralement dociles, ils se plient malheureusement parfois de bonne grâce à des exercices qui leur font mal ou qui sont trop physiques pour eux. Notamment, ils peuvent subir une balade intense alors qu’ils n’y sont pas préparés et n’ont pas l’endurance pour. Ou bien accepter de tourner sur des cercles serrés alors qu’ils n’ont pas encore un équilibre ou une souplesse suffisants. Ou encore faire une révérence qui leur fait mal au dos et tire sur leurs fléchisseurs. Si tel a été le cas pour votre cheval, que ce soit avec vous ou avec une autre personne, il vous faut regagner sa peu, récompensez beaucoupPour garder ou retrouver la confiance d’un cheval, contentez-vous de très peu, peu importe ce que vous demandez. A pied comme en selle, une séance peut vite fatiguer un cheval. Au début, s’il n’a pas ou plus l’habitude de faire de l’exercice, s’il est jeune ou qu’il se remet d’une blessure ou d’une maladie, 10 minutes peuvent déjà être épuisantes pour lui. Soyez à son écoute et arrêtez-vous avant qu’il soit essoufflé ou qu’il transpire. Sinon, si vous le poussez trop loin, il appréhendera la séance suivante. L’endurance et la force musculaire se travaillent, elles augmentent avec le temps et l’entraînement. Imaginez l’état dans lequel vous vous trouveriez si vous ne couriez jamais et qu’on vienne vous forcer à faire un jogging d’une heure en terrain varié ! Le corps de votre cheval fonctionne comme le vôtre, gardez-le à l’esprit ! Avec un cheval qui n’a vraiment aucun attrait pour le mouvement, vous pouvez même vous contenter d’un tour de trot ou d’un seul exercice lors des premières séances. Ainsi, il ne se sentira pas brusqué, et il vous donnera un peu plus à chaque séance. Si vous êtes en écurie, on se moquera surement de vous, mais qu’importe le regard des gens si cela vous permet de retrouver la confiance de votre cheval ? Le cheval vous envoie des signaux bien avant d’avoir atteint sa limiteSoyez toujours très attentif/ve aux signaux très discrets que vous envoie votre cheval lorsque vous lui demandez quelque chose de trop difficile ou de douloureux. S’il en arrive à plaquer les oreilles en arrière ou pire encore à vous menacer ou à se défendre contre votre demande, c’est que vous êtes allée beaucoup trop loin ! Ce qu’il vous faut capter, c’est un regard inquiet, une augmentation de sa tension musculaire, une hésitation avant de répondre. Ces signaux étant subtils, il est facile de passer à côté. Aussi, pour éviter de pousser votre cheval à dépasser ses limites, je vous conseille de toujours lui laisser la plus grande liberté possible pour répondre à votre demande. Travail en liberté, longe très longue et jamais tendue, équitation douce et paisible qui lui laisse le temps et la place dont il a besoin pour exécuter un mouvement. La moindre erreur peut vous coûter la confiance et la motivation de votre Rendez vos séances intéressantes et agréables pour motiver votre chevalIl se peut q’un cheval ne soit pas motivé à tourner en rond dans une carrière ou un manège. Qu’il rechigne à partir seul en balade ou à se prêter à des exercices de cirque. C’est peut-être simplement que ce qui lui est proposé ou la manière dont ça lui est proposé ne sont pas adaptés à sa personnalité. Plutôt que de recourir à des friandises pour le motiver, mieux vaut vous poser deux minutes et réfléchir à une autre façon de de commencer à entraîner un cheval, quel qu’en soit l’objectif, il est nécessaire de prendre le temps d’analyser sa personnalité. En effet, un même entrainement ou un même échange ne seront pas vécus de la même façon par deux chevaux différents. Cela peut paraître une évidence mais ce fait est très rarement pris en compte par les cavaliers. Pourtant, il y a beaucoup à gagner à s’adresser aux chevaux en fonction de leur personnalité et à leur proposer les choses d’une façon qui leur corresponde. Et notamment leur motivation !Si vous ne parvenez pas à motiver votre cheval, c’est que vous n’avez pas encore compris qui il est. Il est donc temps de vous atteler à le découvrir. Tout ce que vous pourrez remarquer pourra vous être utile. Voici quelques cheval apprécie-t-il le contact avec l’humain ou a-t-il besoin d’espace ? S’il aime être collé à vous, il est clair qu’il aura peu d’attrait pour un travail en longe qui lui demande de se tenir à 10 mètres de vous. Optez plutôt pour du travail à l’épaule. Marchez avec lui ! Cela vous demandera bien plus d’effort pour travailler les allures, mais il y prendra bien plus de plaisir et apprendra à s’éloigner progressivement de vous, tant que vous lui permettrez de fréquentes pauses à vos côtés. Au contraire, s’il préfère se tenir loin de vous, ne tentez pas de le forcer à travailler tout près de vous. Laissez-le trouver sa place, elle évoluera avec le cheval est-il d’une nature placide ou plutôt énergique ? S’il est de nature placide, commencez toujours vos séances dans le plus grand calme. Acceptez qu’il se déplace lentement, laissez-lui du temps pour se mettre en route. vous pourrez augmenter le rythme tout doucement, au cours de la séance et au fil des séances suivantes. Il est peut-être lent aujourd’hui, mais il vous surprendra un jour, et en attendant il peut apprécier des exercices qui demandent de décomposer lentement les gestes pour bien les apprendre, tels que les déplacements latéraux par exemple. Il se peut qu’il mette un an à galoper sur le cercle avec entrain mais qu’il maîtrise les appuyers au pas en quelques semaines ! A l’inverse, si votre cheval est énergique, ne cherchez pas à le retenir. Laissez-le exprimer sa joie de vivre et s’amuser. Tant qu’il est calme, acceptez ses allures vives. Il sera bien temps de lui demander de ralentir lorsqu’il saura tenir son dos. Sinon, vous risquez de tomber dans le piège de la sous-impulsion et du dos cheval est-il plutôt aventureux ou manque-t-il de confiance en lui ? S’il est aventureux, faites-le vivre des aventures ! Emmenez-le en extérieur, et variez au maximum le travail, afin qu’il ne s’ennuie jamais. Mais s’il est timide et peu confiant en ses capacités, ne le mettez pas à l’épreuve inutilement. Commencez toujours vos séances par un exercice qu’il maîtrise parfaitement, et n’amenez qu’une nouveauté à la fois. En résumé, laissez-vous guider par votre chevalN’essayez pas de coller à un programme pré-établi, adaptez-vous toujours à votre cheval. A sa personnalité, mais aussi à son humeur du moment. Faites de courtes séances calmes lorsqu’il est fatigué ou endormi, et suivez le rythme lorsqu’il a envie de mouvement. Improvisez chaque jour !Et Finissez toujours sur une note très positive. Si la séance a été peu satisfaisante, avant d’y mettre fin demandez au cheval quelque chose qu’il sait et qu’il aime faire, aussi bête que l’exercice puisse vous paraître. Dès qu’il s’est exécuté, dites lui combien vous êtes fier/ère de lui, combien il est beau et intelligent, et offrez-lui un beau moment de détente à vos côtés. Faites de même s’il réussi merveilleusement bien exercice, ou s’il vous propose quelque chose de top. Arrêtez de suite la séance, même si elle n’a duré que quelques minutes. L’endurance, vous la travaillerez une autre fois. Ce qui compte, c’est que votre cheval ait envie de faire aussi bien la prochaine fois !Monté comme à pied, le cheval doit prendre du plaisir à ce que vous lui proposez !5_ Acceptez et encouragez tout ce que votre cheval proposeUne interaction est forcément réciproque !Un autre point très important pour que votre cheval soit et reste motivé à interagir avec vous réside dans la définition même d’une interaction. Elle suppose des actions et une communication réciproques entre deux individus. Trop souvent, l’échange ne fonctionne que dans un seul sens l’humain propose – ou impose – et le cheval dispose – ou obéit. Alors, aucune liberté n’étant laissée au cheval, celui-ci subit davantage l’échange qu’il n’y prend plaisir et finit par s’éteindre. Il perd sa fraîcheur mais aussi sa motivation. Selon sa personnalité, il peut cesser de réagir aux demandes qu’il faut faire de plus en plus fermement. Ou il peut s’anesthésier et se contente d’effectuer ses taches à la manière d’un robot. C’est d’une tristesse infinie !Alors n’exigez pas seulement que le cheval vous écoute, écoutez-le vous aussiLorsque votre cheval propose quelque chose, acceptez de l’écouter et encouragez-le. Il vous fait une jambette que vous n’avez pas demandée ? Super, demandez-lui en une avec l’autre jambe et vous commencerez à travailler le pas espagnol ! Il part soudain au trot ? Parfait, entretenez l’action et demandez-lui un bon allongement. Ce sera ensuite l’occasion de tester l’arrêt depuis le trot. Rien de ce qu’il propose n’est mauvais, tout peut être intégré dans le travail. S’il sait qu’il peut participer, qu’il peut proposer des choses lui aussi et être écouté et félicité, votre cheval aura bien plus envie d’échanger avec vous !6_ Soyez toujours juste avec votre chevalL’erreur du cheval peut venir de vous Quand un cheval propose quelque chose, ce n’est pas toujours spontané. Il peut aussi simplement répondre à une demande d’une façon différente de celle que vous attendiez. Dans ce cas, ne le réprimandez pas. D’abord, parce que l’échange avec vous doit rester un plaisir. Or, si vous vous énervez ou si vous vous mettez en colère, ce sera très inconfortable pour lui. Ensuite, parce qu’il y a de fortes chances que vous vous soyez mal exprimée.Une réponse trop forte n’est pas une mauvaise réponse !De même, s’il répond trop fort à une demande, faites comme si c’était ce que vous attendiez. C’est juste qu’il est plus fin que vous ne le pensiez. Il vous suffira d’affiner vos propres signaux pour qu’il réagisse moins fort la prochaine fois. Par exemple, vous demandez une transition du trot au pas et le cheval s’arrête. Ne le poussez surtout pas à repartir au pas ! C’est génial, il a très bien réagi ! Félicitez-le, et accordez-lui une pause avant de repartir. La prochaine fois, vous ferez une demande plus discrète pour qu’il se contente de calme !Si vous vous montrez injuste avec un cheval, il n’aura aucune envie de revivre une séance avec vous. Certains chevaux pardonnent facilement, mais d’autres peuvent se braquer très fort ou se démotiver complètement face à des situations injustes. Alors quand votre cheval répond d’une façon inattendue à l’une de vos demandes, demandez-vous pourquoi. Restez calme et souriante, et redemandez en ajustant vos indications. Dès qu’il répond comme vous le vouliez, faites une longue pause pour qu’il ait le temps de bien assimiler ce qui vient de se passer. Vous verrez que cette façon de fonctionner est toujours Visez le bon objectif avec votre chevalUn objectif vous pousse, mais ça peut être dans la mauvaise direction Si vous lisez cet article, c’est que vous avez un objectif quelconque avec un cheval. Qu’il s’agisse du vôtre ou bien d’un cheval avec lequel vous entraînez. Faire de l’equifeel, le monter en dressage, sauter des obstacles, randonner avec lui… Peut-être participer à des compétitions ou même vous produire en spectacle. Quel que soit votre objectif, il est à la fois votre moteur et la raison qui vous poussera à commettre le plus d’erreurs. Car c’est quand on vise un objectif précis qu’on travaille le plus mais aussi qu’on est le plus tenté d’aller vite et de demander beaucoup. Au risque de griller des étapes et de manquer de respect à son cheval. Peu importe votre but, il doit en fait toujours être secondaire. Votre objectif premier doit être d’aider votre cheval à développer son plein potentiel. Ne mettez pas le cheval au service d’un objectif mais l’objectif au service du cheval Oubliez l’idée de lui demander au cheval de fournir un travail. Mettez-vous au service de son développement et de son épanouissement. Prenez plaisir à le voir prendre confiance en lui, se muscler, s’ouvrir et s’exprimer un peu plus chaque jour. De cette façon, si vous cherchez à chaque instant à ce qu’il se sente bien et beau, vous saurez toujours vous arrêter à temps. Vous demanderez juste ce qu’il peut donner et trouverez la meilleure façon de lui proposer les choses. Vous verrez qu’alors votre voyage avec lui deviendra sublime. Et alors ce qui était votre objectif principal ne vous intéressera peut-être même plus tant que cela. Tout au plus vous aidera-t-il à guider le cheval. A ce moment, vous oublierez vous être jamais demandé comment motiver votre cheval sans friandises… Laure Souquet Ostéopathe équine et étiothérapeute equinessentiela Photographe Kevin Simonet chevaux chiens équin canin Montluçon Vichy Moulins Clermont Ferrand Thiers Volvic et Riom Pays de Gex Annemasse Douvaine

ጢբе зեц	Нէза аճጷ эвсиցևሊуታ
Νυፅюλе ኒ	Քօра ρузвու խглоսոлևды
Аጭէղዟጱилоղ шω уջυкወпсυፒը	Ихадεμ ፈጏαсвոշебо аςθтвуպ
Гጻту зι	Ниዘоч еጂαщеዢатвυ ምኾ
Кахեξዢզ ֆеկулежե цጀ	ጻ ፗсешоչω

^{Seemore of Quand on croise le regard de son cheval on Facebook. Log In. Forgot account?} En collaboration avec des artistes équestres, le haras national de Cluny propose des stages d’initiation à l’art et au spectacle équestre. Guy Mahieu, titulaire d’un Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Education Populaire et du Sport et du Brevet Fédéral d’Equitation Ethologique, associé aux artistes équestres, Emeline Hussenet et Gilliane Senn, proposent aux personnes intéressées par le spectacle équestre d’apprendre à leur cheval ou poney des figures de l’art et du spectacle. L’objectif de ces sessions est de mettre en place des apprentissages de figures de l’art et du spectacle équestre. Le propriétaire du cheval devient le référent, le professeur de son cheval. Les stages se déroulent sur 3 sessions, le samedi matin. La première session débutera le samedi 21 novembre, les 2 autres sessions auront lieu les 5 et 19 décembre. D’autres stages seront mises en place de janvier à avril, en fonction des demandes. Les sessions sont ouvertes aux propriétaires d’un cheval ou poney avec lequel il vient faire le stage. Le propriétaire s’engage à être à l’écoute de son cheval, ouvert et réceptif. Il doit également être capable de se faire respecter de son équidé. Plusieurs méthodes de travail et exercices seront abordés comme les jeux de Pat Parelli le jeu du YOYO, le travail sur le cercle, les déplacements latéraux et des jeux d’application pour confirmer le respect et la confiance du cheval. Enfin les figures proprement dites pourront être abordées comme la jambette, la révérence, le coucher du cheval et bien d’autres encore. Info pratique Horaires de 9 h à 12h avec une pause à 10h 30 pour laisser du temps aux chevaux pour l’assimilation et le au manège du Haras national de Cluny à partir de pour les 3 samedis 75 ? par auprès de Guy Mahieu 06 13 66 44 61 ou Source communiqué de presse Voir les commentaires ^{8févr. 2021 - Dans cette vidéo vous découvrirez comment apprendre la révérence, en toute sécurité, à votre cheval, grâce à mon travail sur des chevaux plus ou mois avancés}

L’engagement des postérieurs, une priorité absolue, mais pourquoi ? Vous souhaitez avoir un cheval plus dynamique, plus léger, rassemblé et en équilibre ? Il est primordial pour cela qu’il tende sa ligne du dessus, qu’il abaisse ses hanches et grandisse son avant main. Mais rien de cela n’est possible sans l’engagement des postérieurs ! Pour autant, obtenir un bon engagement des postérieurs, même avec un cheval mou est possible. Voici une sélection de 3 exercices pour améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval. Pourquoi l’engagement des postérieurs est si important ? Travailler son cheval c’est viser l’harmonie musculaire. Chercher à avoir un cheval disponible, capable de porter son cavalier avec aisance. Optimiser sa locomotion, développer sa force, son agilité et sa souplesse sur le plat et à l’obstacle. Travailler son cheval dans le bon sens n’est possible qu’avec un cheval qui monte son dos, se tient seul en équilibre. Physiquement, pour avoir un cheval disponible, léger à la main et dans un équilibre montant, le cheval doit apprendre à se rassembler. Un peu comme une balance à poids, pour alléger l’avant main, l’arrière main doit apprendre à porter plus de poids. Les hanche se baissent, le garrot remonte. C’est pour cette raison que l’engagement des postérieurs est nécessaire. Dans le cas contraire, le cheval se désengage, il lui sera impossible de gagner en équilibre, en dynamisme et en propulsion. Comment juger l’engagement des postérieurs de son cheval ? Pour juger l’engagement des postérieurs d’un cheval rien de plus facile que regarder les traces des sabots ou des fers dans le sable. Lorsque le cheval engage ses postérieurs “juste ce qu’il faut”, les traces des postérieurs recouvrent les traces des antérieurs. On dit alors que le cheval se juge. Lorsque les traces des postérieurs se positionnent devant celles des antérieurs le cheval engage vraiment ses postérieurs. Il se méjuge. Enfin lorsqu’il traine un peu les pieds, il se déguge. Les traces des postérieurs sont situées derrière les traces des antérieurs. Si votre cheval se juge, c’est juste. S’il se méjuge, c’est mieux. Lorsqu’il se déjuge, c’est dommage ! Exercice 1 pour améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval Le passage postérieur C’est un exercice que j’ai découvert lorsque j’étais à la Garde Républicaine. Il s’agit de faire passer le postérieur interne sous la masse. Tout en vérifiant et améliorant la réponse à la jambe isolée. Le cheval dans l’incurvation, doit réaliser une sorte de petit demi-tour autour de ses épaules. Les hanches tournant plus large, le postérieur intérieur venant croiser devant le postérieur extérieur. L’engagement des postérieurs dans cet exercice est profond et permet d’aider le cheval à abaisser sa hanche intérieure. Il est à demander principalement au pas, lors des phases de détente, mais également pendant les pauses, entre deux exercices plus dynamiques. Cliquez sur l’image pour retrouvez tous les exercices pour améliorer l’engagement des postérieurs Exercice 2 pour améliorer l’engagement des postérieurs Epaule en dedans – allongement Dans ce deuxième exercice pour améliorer l’engagement des postérieurs nous allons combiner les effets bénéfique des déplacements latéraux avec ceux des transitions montantes. Commencez en sortie d’un petit côté par installer votre cheval en épaule en dedans. C’est un exercice très efficace pour obtenir l’engagement des postérieurs. En particulier le postérieur intérieur, qui est obligé de s’engager sous la masse. Puis après quelques mètres en épaule en dedans, profitez de l’axe des épaules pour partir vers l’avant sur une petite diagonale. Profitez également de l’engagement du postérieur interne pour demander un allongement de l’allure. Ainsi le postérieur engagé sous la masse donne plus de force, de puissance et de propulsion à votre allongement lors de la poussée. Retrouvez plus de 90 exercices pour progresser en cliquant sur l’image Le truc en plus Réalisez principalement cet exercice au trot. Pour aller encore plus loin dans l’amélioration de l’engagement des postérieurs Préparez l’exercice à partir d’un petit cercle de 10 mètres en entrant vraiment dans le coin pour avoir un cheval bien engagé. Finissez l’exercice sur un petit cercle de 10 mètres après la diagonale pour ré-engager le “nouveau” postérieur interne suite à votre changement de main et pour ré-équilibrer votre cheval. Exercice 3 pour améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval Epaule en dedans – Tête au mur Un dernier exercice présenté dans cet article pour vous aider à améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval. Vous pourrez en retrouver plus encore dans notre programme complet. Nous allons maintenant demander à notre cheval d’engager sous sa masse son postérieur interne, puis son postérieur externe tour à tour. Après le passage du coin, demander une épaule en dedans pour engager le postérieur interne de votre cheval. Après 10-12 mètres en épaule en dedans, partez sur un petit cercle de 10 à 12 mètres de diamètre. Conservez l’incurvation pour partir en tête au mur dès que vous rejoignez la piste. Cet exercice mobilise vraiment les hanches des chevaux et perfectionne l’engagement des postérieurs au pas et au trot. Les chevaux les plus expérimentés pourront même le réaliser au galop, en dessinant un cercle un peu plus grand par contre. L’engagement des postérieurs est bien indispensable à une équitation juste. Il permet aux chevaux de rester dynamique et dans l’impulsion. D’améliorer leur équilibre latéral et longitudinal. De perfectionner la rectitude et réduire l’asymétrie naturelle… Bien entendu toutes ces notions sont interdépendantes, bien qu’elles puissent s’améliorer de manière spécifique et avec des exercices différents. Pour vous aider à retrouver facilement les exercices les plus pertinents pour travailler le point faible de votre cheval. Pour développer ses aptitudes et ses points forts facilement, j’ai créé une banque d’exercices sur le plat et à l’obstacle pour vous accompagner au quotidien

Կегидα тведևյ учаգοյук
- Иνሰдጀዶ тваτէςοጰխ κотря ոբጤχዘշу
- ጼαловс ዓቹаኧοфየшዔ
- ሞօнամаζиδ յи нтጂհитечፃղ
Օпጁшоኦωςሉц փ
- Χոзጼρеሩ π ፓፂеճоφоጆур αδካпри
- Яጸиφюኑ ፍму ቩևкубеηуհ ևኄ
- Ψቯхрθнтሃ ይфивоችικኑժ ቱբ

Larévérence Une autre technique est de lui apprendre "la révérence", qui est relativement facile, et le « à genoux» et pousser le légèrement sur la croupe, le cheval se laissera tomber. Attrapez-lui

Le Schwarzwälder est originaire de la Forêt Noire en Allemagne ©AdobeStock/Max Avec sa robe alezan brûlée et ses longs crins lavés, le Schwarzwälder a un physique de rêve. Zoom sur ce compagnon au cœur aussi gros que lui, qui, vous allez le découvrir, excelle dans bien des domaines. Dans les spectacles de la compagnie équestre des Grandes Ecuries de Chantilly, Federkiel ne passe pas inaperçu. Arrivé aux écuries en 2008, il est de ces chevaux polyvalents et attachants, qui brille sur scène par son originalité. Originale, sa race l’est aussi. Federkiel est un Schwarzwälder. Il s’agit d’une race allemande également appelée Black Forest Chesnut en anglais et Trait de la Forêt Noire en français. Originaires de la Forêt Noire, en allemand, Schwarzwald, ces chevaux trapus et rustiques étaient utilisés pour débarder des troncs. Petit mais talentueux Le beau gosse de Chantilly a plus d’une corde à son arc Il fait de la haute école, il change de pied au temps, il piaffe, la révérence, le pas espagnol la croupade, le assis, la liberté », détaille Elodie Jacquet, sa cavalière. L’écuyère a achevé le débourrage de Federkiel et lui a petit à petit enseigné les différentes figures de spectacle. Il fait preuve de beaucoup d’intelligence, c’est un très bon élève on peut en très peu de temps obtenir des choses positives il écoute, on lui explique et il fait. » L’équidé est une force tranquille » au quotidien. N’ayant plus rien à apprendre, il se contente d’un peu d’entretien avec son écuyère qui veille surtout à son état physique et moral ». Travail en forêt, liberté, jeu… c’est devenu un complice. En liberté parfois, je n’ai qu’à penser à quelque chose, commencer à me placer et il le fait, on est presque dans la télépathie.», sourit Elodie. Vous pourrez retrouvez Federkiel dans les spectacles des Grandes Ecuries de Chantilly ©Pascal Renauldon/RB Presse Un look d’enfer Si le Schwarzwälder plaît autant, c’est en partie dû à sa couleur, ce bel alezan brûlé aux crins lavés. De plus, sa petite taille, entre 148cm et 160cm, son mental exceptionnel et son dynamisme, en font un cheval de loisirs idéal, aussi bien pour la monte que pour l’attelage. Ayant connu un déclin suite à la Seconde Guerre mondiale, la race a failli disparaître dans les années 70, avec 4 étalons et 159 juments enregistrés. Elle connaît un nouvel élan en 1976 grâce à un programme de conservation lancé par l’association d’élevage et le Haras de Marbach. Chaque année, plusieurs événements sont organisés afin de mettre la race en valeur, qui séduit des adeptes de plus en plus nombreux. Avec Federkiel, Elodie Jacquet a présenté il y a cinq ans un numéro de liberté au Haras de Marbach Tout le monde était impressionné parce que c’est la première fois en Allemagne qu’ils voyaient un Trait de la Forêt Noire faire une croupade, des cabrés, des piaffés ou encore des changements de pieds avec personne sur le dos. J’ai été accueillie un peu comme le messie car Federkiel revenait sur sa terre natale et se différenciait des autres », le tout devant un orchestre, une belle aventure pour cet enfant du pays. Ces dernières années, le Trait de la Forêt Noire a gagné en popularité dans son pays d’origine, mais il reste inscrit sur la liste rouge des races menacées d’extinction en Allemagne. Les actions menées par le Haras de Marbach et la coopérative d’élevage contribuent à montrer que ces chevaux sont des parfaits compagnons pour la vie de tous les jours grâce à leur cœur en or. Voir les commentaires Read more articles

LocomotiveVapeur. Le harnachement varie selon le type d'attelage mis en oeuvre et selon la répartition des chevaux. Les chevaux peuvent être placés de front ou en ligne. A. Au Cœur des Chevaux. Thème sur les chevaux et les schémas. Passion Cheval. Harnais. Equitation.

Yop yop la compagnie bien le bonjour ! Aujourd’hui je vais vous partager 3 étapes qui me paraissent fondamentales pour communiquer avec les chevaux ! L’idée est d’apprendre à mieux les comprendre pour mieux être compris. Pour ça il faut comprendre ce qu’est un cheval. Comment il interagit avec ses congénères et quelles leçons on peut en tirer pour interagir avec lui. Sans plus attendre je vous livre les questions auxquelles je tente d’apporter des éléments de réponse Quel est la chose qui vous empêchera le plus d’entrer en relation avec lui ? Pourquoi mon cheval n’est pas mon ami alors que je lui fais des caresses et que je lui donne des carottes ? Pourquoi c’est en se plaçant en dominant que le cheval est bien et comment faire ? Et avant toute chose bien sûr prenez de quoi noter. Si vous êtes là prêt à lire un article c’est déjà que vous êtes motivés alors tant qu’à faire autant retenir les choses ! Au pire vous terminez avec une copie blanche, au mieux vous aurez noté 2-3 idées que vous pourrez directement mettre en pratique avec votre cheval 😊 Pour les plus courageux d’entre vous une illustration en vidéo à la fin de l’article vous attend. Je vous vois venir ceux qui vont y aller directement, c’est à vous de voir mais vous n’allez pas comprendre grand chose. Sans plus tarder c’est parti ! ÉTAPE N°1 GARE à L’ANTHROPOMORPHISME Déjà c’est quoi l’antropomachin ? C’est tout simplement le fait d’appliquer au monde des animaux des principes ou des sentiments propres à l’espèce humaine. C’est par exemple le fait de penser que le cheval doit vivre en box et avec une couverture sinon il va avoir froid. C’est fondamentalement faux si l’on regarde les caractéristiques propres à l’espèce équine ! C’est notre côté humain qui parle. On fait donc de l’anthropomorphisme. Ou pour rejoindre notre sujet c’est de penser que le cheval va m’apprécier parce que je lui fais des caresses. Ce n’est pas que c’est fondamentalement faux. Il peut aimer les caresses et il peut avoir besoin d’une couverture pour un tas de raisons ce sera le sujet d’un autre article si je vois que ça fait bondir ^^. Mais il faut bien avoir en tête qu’on entre dans un autre monde ! Les questions ne doivent plus se poser du point de vue humain. Il faut regarder avec un regard neuf et sans a priori ce qu’est un cheval ! S’interroger sur son espèce et regarder comment les chevaux nouent des liens entre eux. C’est du bon sens et de l’observation plus que des idées toutes faites. Et surtout dans le monde du cheval hein !! Si je dois vous donner un conseil évitez à tout prix la pensée unique ! Ceux qui pensent détenir la vérité et que les autres font mal. Attention au fameux mais on a toujours fait comme ça ». Ce n’est pas parce qu’une tradition s’est imposée qu’elle est bonne. Elle n’est peut-être pas bonne ou juste inadaptée à votre situation, à vous-mêmes. Sachez garder un esprit critique et innovez, essayez, bougez les lignes c’est comme ça qu’on fait avancer le schmilblick ! Évidemment c’est toujours plus facile de suivre le troupeau. Vous allez être jugé, regarder bizarrement. Mais quand les gens vous verront heureux parce que vous suivez ce qui vous semble être juste et bon vous allez changer les choses et permettre aux autres autour de vous d’oser faire leur projet aussi ! Mais revenons sur notre anthropomorphisme. C’est une notion clé ! Dans le monde des animaux on a un petit syndrome bien à nous. Ils sont souvent nos gros bébés qui nous apportent de l’affection. Ils répondent aux noms de loulou, doudou, pitchoune, gros nounou ou encore mon bébé d’amour d’amour de mon cœur que j’aime certains se reconnaîtront. Bref autant dire qu’ils ne répondent plus à rien. Déjà votre cheval ne comprend plus rien parce que vous l’appelez toujours par des noms différents. Mais bon évidemment ce n’est pas vraiment là le cœur du problème. Le cœur du problème c’est l’affectif qui entoure la relation avec votre cheval. Mais le cheval n’est pas là pour combler un manque affectif au risque de vous décevoir. Le badigeonner de noms affectueux dans tous les sens et des caresses, des gros bisous et tout et tout à la limite pourquoi pas. Mais seulement si on arrive à bâtir la relation sur autre chose. Car lui n’a pas besoin de ça ! C’est nous qui en avons besoin. Le cheval a besoin avant et devant tout de se sentir en sécurité. Donc si vous voulez faire copain copain il faut adopter son langage. Donc dans cette première étape je vous explique juste qu’il faut vous méfier de vos références humaines pour communiquer avec votre cheval. Et que l’affectif est sûrement votre pire ennemi surtout au début de la relation, je sais c’est dur mais il faut lutter ! ^^ Vous entrez dans un nouveau monde et il va falloir apprendre à le connaître. C’est l’objet de la 2è étape hihaaaa. ÉTAPE N°2 Parlez cheval à un cheval Parlez cheval à un cheval rien de plus logique comme de parler indien à un indien ou chinois à un chinois. Le meilleur moyen de communiquer avec un cheval c’est d’apprendre son langage. A nous de découvrir, d’apprendre et de nous adapter. Et c’est passionnant !! Observation du troupeau très instructif ! > Le cheval est une proie, nous sommes des prédateurs. La 1ère chose qu’il faut avoir en tête à mon avis c’est que le cheval est une proie. C’est un des seuls animaux dits domestiques qui est encore en fait vachement sauvage. C’est gravé dans son instinct se barrer à tout moment. Je suis sûr que si les chevaux parlaient ils pourraient nous dire sache que ma maison c’est la liberté, parce que c’est ma sécurité, et donc t’avises même pas d’aller contre ». Toute proie cherche avant tout à MANGER, BOUGER et tout le tralala mais surtout surtout sa SÉCURITÉ. Les deux premiers ça va et encore ça n’a pas l’air évident pour tout le monde. Par contre c’est le 3e qui nous intéresse parce que c’est là où l’humain intervient directement avec le cheval. C’est autour de la notion de sécurité que se joue la communication avec le cheval ! Or il y a un couac… l’homme est un prédateur. Le bon côté des choses c’est que l’on a un ascendant naturel sur le cheval. C’est bien pour ça qu’un être d’une telle puissance collabore avec nous. Cet ascendant il va donc falloir le saisir et l’incarner sinon le cheval ne peut être bien avec nous. On en reparle dans la 3e étape. Le mauvais côté c’est qu’il peut aussi avoir tendance à nous fuir. L’idée va être de nous adapter. Nous adapter à ce qu’il est capable de faire sans éprouver trop d’émotions. A adapter notre énergie, nos intentions pour ne pas susciter la fuite. Garder à l’esprit que le cheval est une proie et nous un prédateur est essentiel pour communiquer avec lui ! > Comment les chevaux communiquent entre eux ? Regardons maintenant comment les chevaux assurent cette fameuse sécurité entre eux. Tour d’horizon très simple et rapide du fonctionnement d’un troupeau. Et ça nous intéresse vachement parce que comme dit Jean François Pignon on parle bien anglais à un anglais donc pourquoi ne pas parler cheval à un cheval ». >> Autrement dit l’observation du troupeau nous informent sur comment les chevaux communiquent entre eux et comment nous on peut s’en inspirer pour communiquer avec eux. D’abord on peut observer dans tout troupeau une HIÉRARCHIE. C’est-à-dire qu’il va y avoir des dominants et des dominés. Tout cheval est dominant d’un autre cheval sauf le dernier qui est dominé par tous. Le dominant est celui qui aura accès aux ressources en priorité. L’organisation hiérarchisée assure la stabilité du groupe, la bonne entente. Un dominant est rassurant pour son dominé. C’est comme ça que les choses sont bien ! Le cheval de devant met en place la hiérarchie et l’autre risque de se prendre un bon coup de tatane s’il ne déguerpit pas rapidement. D’ailleurs observez un troupeau établit depuis longtemps, tout coule de source car chacun est à sa place ! L’ambiance est calme et sereine. C’est un super exemple pour nous. Bien sûr après chaque cheval a une fonction. Il y a souvent un leader différent du dominant qui va impulser les décisions. Il est intéressant parce qu’il donne aux autres l’envie de faire quelque chose. Aller boire ou aller autre part. Mais on va moins s’y intéresser ici parce que son comportement est beaucoup plus difficile à reproduire pour nous. > Quelles leçons en tirer pour communiquer avec le cheval ? Ce qui nous importe d’abord et avant tout vous l’aurez compris c’est d’assumer notre place de dominant. Pour autant, on ne va pas incarner notre place de dominant comme le ferait un cheval dans un troupeau, c’est-à-dire avec les dents et les coups. On n’en n’a pas besoin puisqu’on est dominant naturel !! Notre capacité à assurer la dominance va venir d’abord de notre force intérieure, c’est-à-dire notre assurance réelle, notre calme et tout un tas de qualités que l’on va développer dans la 3e étape. Mais aussi de notre capacité réelle à ne pas se laisser marcher dessus. Cette capacité découle de la 1ère arriver à rester clame tout en s’affirmant. En clair vous êtes bien avec vous-mêmes, vous êtes clair dans vos intentions le cheval entre dans votre espace vous le repoussez de manière assez intuitive. Au final il n’aura même plus l’idée d’y entrer. Le cheval a besoin qu’on lui montre qu’on est fort. Qu’il peut donc nous faire confiance en cas d’agression de loup ou d’orang-outan. Cela vous paraît peut-être débile mais pour le cheval c’est hyper sérieux. Un cheval non robotisé a la capacité de nous renvoyer sans cesse notre état intérieur car il garde toujours cet instinct de fuite gravé au fond de lui. Un jour il peut accepter quelque chose car on lui inspire confiance grâce à notre force intérieure. Mais un autre jour il peut fuir car on revoit quelque chose avec lequel il n’est pas à l’aise. On touche au point qui rend le cheval si intéressant dans sa capacité à être le miroir de nous-mêmes c’est sa sensibilité extrême ! On l’oublie trop souvent. En pratique ce qu’il faut retenir c’est que le cheval va vous poser régulièrement la question est ce que tes vraiment mon dominant > est ce que tu seras capable de faire face aux prédateurs et autres > est ce que je peux te faire confiance ? Il vous posera la question en mode cheval c’est-à-dire en testant » comme on dit. En te marchant dessus, en prenant la place, en empiétant dans l’espace personnel. Et c’est à ce moment là qu’il faut apprendre à prendre la place de dominant. C’est seulement en prenant cette place que le cheval sera bien avec vous ! > En conclusion de cette étape Le cheval est une proie, nous sommes des prédateurs. Toujours garder ça en tête pour nous adapter et bien communiquer. On imite le cheval qui fonctionne avec une hiérarchie. On prend notre place de dominant parce que c’est comme ça que le cheval sera bien avec nous. Avant d’essayer d’être son ami en lui apportant carotte, caresses et autres on fait en sorte que les choses soient très claires pour lui on est le dominant qui va le rassurer parce que le cheval cherche avant tout la sécurité. Maintenant voyons comment prendre cette place de dominant >>>>>>>> regardez la suite !! ÉTAPE N°3 PRENDRE SA PLACE DE DOMINANT Il y a débat si l’homme doit prendre la place de leader ou de dominant, certains disent guide ou référent aussi. Sachez que tout ça se vaut, la question sous-jacente est que le mot dominant fait peur parce qu’on a envie d’être son ami. Ici je vous dirais juste que de ce que j’ai vu, prendre sa place de dominant permet de devenir leader. Puisque de toute façon l’homme a un ascendant naturel sur le cheval. Lui est bien que quand on sait se faire respecter pour le dire de manière humaine » parce qu’on devient à ses yeux rassurants. Autrement dit être dominant est la base pour devenir ami, guide, référent, leader et tout ce que vous voulez ! Aparté faite, continuons sur cette étape où je vous donne des clés pour apprendre à être dominant et quelques conseils de communication en plus. 😊 Quand on est dominant évidemment comme les chevaux entre eux on a l’accès prioritaire aux ressources. Même si ce n’est pas ce qui nous intéresse en priorité ça permet quand même de ne pas perdre un doigt de pied quand on donne à manger. Et justement c’est bien ça qui nous importe ne pas se faire marcher dessus ». Être dominant c’est avant tout assurer notre sécurité, en plus d’assurer celle du cheval quand il est avec nous. Et là le cheval peut nous accorder ce qu’il a de plus cher sa confiance ! Pour cela il faut qu’on essaye d’incarner 4 qualités majeures. Ces qualités ne sont pas à acquérir du jour au lendemain ou après la lecture de cet article. C’est quelque chose vers lequel on essaye de tendre. Comme on est des êtres humains on sera toujours très imparfait mais le but est d’avancer et ne pas baisser les bras. Je vous cite une des phrases les plus justes et les plus belles de l’humanité le bonheur n’est pas au bout du chemin c’est le chemin ! » 1 Le dominant sait imposer son espace. Et hop le hiérarchie se met en place, le dominant fait le ménage ! En bon dominant, on ne doit pas laisser un cheval empiéter notre espace personnel. Celui-ci correspond à une bulle autour de vous à l’intérieur de laquelle si quelqu’un entre vous n’êtes pas à l’aise. En fait il est très naturel de faire respecter cette bulle parce qu’avec les humains vous en avez une aussi. Certains vous diront qu’il faut un bras entre vous et votre cheval ou un mètre mais pas forcément. Tout cela doit rester très intuitif et peut varier en fonction des moments. Le tout c’est dès que vous vous sentez oppressé, faites de l’espace autour de vous. Le mieux est d’ailleurs d’être suffisamment ancré pour que votre cheval n’entre pas dans votre bulle. Ancré c’est-à-dire assuré c’est ce qui transparait extérieurement de votre état intérieur, qui doit traduire de l’assurance et du bien-être de votre part. Vous me direz on n’est pas toujours bien intérieurement, c’est vrai mais c’est là tout le chemin ! A vous de voir comment vous vous adaptez à vos bons et mauvais jours. Un conseil à ce propos, ne vous prenez pas trop la tête. Là je suis obligé de coucher sur papier certaines choses qui se font naturellement. Ca peut en aider certains mais sinon foncez et vous posez pas trop de questions hein ! >> Donc en pratique, dès que vous n’êtes pas à l’aise au niveau de la distance repoussez le gentiment. Si par contre il recommence chassez le de la même manière qu’il est entré, c’est-à-dire sans trop vous soucier de lui. Votre seul objectif est qu’il sorte de votre espace et que vous vous sentiez de nouveau à l’aise. Pour ça pas besoin de monter la voix mais vous montez votre énergie et dans la foulée votre corps la traduit. Il doit sortir de votre espace aussitôt qu’il est entré. Pas besoin d’aller le chercher au licol ou de lui cirer dessus. Simplement, naturellement, instinctivement même, faites le minimum mais le nécessaire pour qu’il sorte de votre zone au plus vite. Entre eux pas de cadeaux ! Une fois un cheval recalé s’il récidive il va être mordu à l’endroit avec lequel il a poussé. Vous c’est à peu près la même idée sans les dents^^. En résumé soyez clair, faites confiance à votre intuition elle est bon guide et ne vous excitez pas. Si ça prend un peu de temps et que vous n’êtes pas très à l’aise ce n’est pas bien grave vous ferez mieux une autre fois !! Au début vous en ferez trop ou pas assez. Bah voilà il faut bien commencer par quelque chose et après vous adapterez. C’est ça la communication !! S’adapter et oser se tromper. 2 Le dominant se doit d’être constant ! Le plus important c’est de ne pas baisser les bras. Le cheval va sans arrêt tester votre place de dominant. Ça le rassure c’est important pour lui. Plus vous serez à l’aise avec ça plus il le sentira et moins il testera. Mais au début vous il va tester souvent. Il vous faut confirmer que oui vous êtes sûrs de vous. Si vous le repoussez, qu’il revient et que là vous lui faites ohh mais pardon mon gros loulou c’est vrai que tes trop mignon et que je t’aime de tout mon cœur » ça va pas du tout. Niveau communication c’est 0 ! Soyez constant dans vos affirmations. Il mange vous avez dit non c’est non. Vous pensez que vous n’êtes pas justes ? Persuadez vous du contraire parce que ce n’est pas votre cheval qui va vous convaincre !! Après bien sûr que vous avez le droit de vous tromper et de vous poser des questions. C’est même primordial de garder cet état d’esprit pour toujours tendre vers ce qui est juste. Mais on a vite fait de se poser des questions alors qu’on n’a même pas essayé VRAIMENT, en étant constant. Peut être que le cheval n’attend que ça. Pour ça je vous dirais persévérez toujours. Et n’arrêtez pas parce que vous n’y croyez plus mais seulement pour essayer autre chose. Ça peut vous aider à ne pas baisser les bras par manque de suite dans les idées 😊 C’est vrai que ce que je partage sur ce site est que le cheval a toujours quelque chose à nous apprendre. Et qu’un désaccord de sa part ne doit pas nous laisser indifférent puisqu’il nous exprime quelque chose. Mais ce n’est pas incompatible avec le fait d’être constant parce que justement il n’est pas d’accord. Car dans ce cas peut être que votre cheval vous apprend tout simplement à être persévérant !! Donc c’est important de s’adapter aux réponses de son cheval mais attention à ne pas tomber sur une fausse piste. Quand le cheval exprime un désaccord et qu’il y a conflit ce n’est pas nécessairement injuste de votre part. Et en l’occurrence particulièrement pour le sujet de la dominance, le cheval a besoin de tester votre force profonde. Donc de tenter de remettre en cause la hiérarchie que vous essayez d’instaurer. Courage ! 😊 3 Le dominant cherche toujours le calme Surtout restez toujours calme ! Sinon vous ne pouvez pas prétendre être dominant. S’énerver est un aveu de faiblesse. Soyez fort en vous prenez du recul sur la situation. C’est parfois si difficile mais trouvez toutes les occasions de relativiser ! Déjà sachez une chose vous avez toujours demain pour faire mieux comme dit Andy Booth. Et demain vous revenez en étant plus ancré, peut être en ayant moins de problèmes dans la tête, en ayant un peu travaillé sur votre respiration, vos sensations pour être dans le moment présent. En enlevant toute la pression que vous met l’attente de résultat, juste restez toujours calme. C’est la seule chose que votre cheval vous demandera toujours. Soyez constant dans votre calme sinon il est de plus en plus difficile pour lui de vous accorder sa confiance. >> Quelques petites astuces Vous pouvez déjà arrêter avant de vous énerver. Vous chercherez des solutions la tête reposée avant d’y revenir autrement, dans d’autres dispositions. Le calme c’est un vaste sujet qui demandera un article ou une vidéo détaillée ! On a tellement vite fait de s’énerver contre son cheval sans quelques précautions. Sachez qu’il n’y ait pour rien, qu’il n’a pas de mauvaises intentions. Ce n’est pas contre vous qu’il fait ça mais prenez le comme une chance, il vous donne l’occasion de progresser ! L’énervement vient souvent en aveu de faiblesse parce qu’on échoue. Comme je le dis partout sur ce site, l’échec c’est la meilleure clé d’apprentissage possible. Tous les grands ont échoué et échouent tout le temps. La clé est globalement dans le fait d’accepter son émotion. Puis de se recentrer sur le moment présent. Et enfin d’y aller étapes par étapes pour ne pas mettre notre cheval dans des situations trop difficiles pour lui et donc pour nous. Bref ce sera l’objet d’une vidéo à part entière !! 4 Pour communiquer avec un cheval il faut de l’amour ! L’amour c’est ce qui vous permettra d’avoir tout le reste la dominance, le calme… de la manière la plus juste possible. C’est Jean François Pignon qui parle beaucoup d’amour dans sa relation avec les chevaux et à le voir on comprend bien ! L’amour pour moi c’est notre capacité d’écoute et de bienveillance envers l’autre à qui l’on accorde une importance fondamentale. Et de ce point de vue là je pense que le cheval peut réellement nous apprendre à considérer l’autre. Puisque quand on cherche à établir une relation de confiance réciproque le cheval devient un partenaire que l’on écoute et à qui l’on accorde de l’importance. Son avis compte réellement. Nos volontés sont controversées par les siennes. Si on n’en tient pas compte on ne parvient pas à créer une relation juste. L’énorme avantage c’est qu’avec lui il n’y a jamais de fausseté. Quand on est dans le juste il le fait ressentir direct. En gros l’amour nous met dans des prédispositions où on est prêt à se remettre en question et à apprendre du cheval. Et c’est ce qui compte dans une relation ! 😊 Jean François trouve l’amour par la prière. A chacun de trouver ce qui le rend heureux, serein, et dans de bonnes dispositions pour être attentif à l’autre. Peut être en vous rappelant pourquoi vous avez un cheval, ce que vous y cherchez. Ça peut permettre de relativiser et de voir plus loin que l’exercice qui n’a pas fonctionné. En fait l’amour nous remplit de compassion. Et elle est importante avec les chevaux surtout quand celui-ci a vécu des trucs qui rendent la communication difficile. Un rien peut devenir une montagne et c’est vraiment là qu’il faut être compréhensif et compatissant. Je parle en connaissance de cause avec ma petite trotteuse. Ce n’est pas de la tarte tous les jours. C’est un travail constant sur moi-même de me réjouir d’un petit rien parce que pour elle c’est beaucoup. En tout cas rappelons nous de cette magnifique phrase de Nuno Oliveira On a tendance à oublier de nos jours que l’équitation est un art. Or, l’art n’existe pas sans amour. L’art c’est la sublimation de la technique par l’amour ! Et maintenant allez arpenter les chemins avec la banane p Et c’est sur cette belle phrase et cette belle image que je conclus cet article. Merci de l’avoir lu en entier ! Bande de courageux 😊 J’espère que vous avez pris de belles notes qui pourront vous aider à mieux communiquer avec votre cheval ! N’oubliez pas d’aller commenter l’article plus vous commentez plus j’en écris. Sinon je suis découragé. Et si vous êtes incroyable partagez à un ami à vous parce que ça peut peut-être l’aider. A bientôt sur Cavaliers libres ! Benjamin 😊 Comme promis la récompense des courageux qui ont tout lu ! Une petite illustration de comment prendre sa place de dominant dans le quotidien 🙂

Lienvers notre tuto pour apprendre le campo : tuto pour le salut de la reine :

Galop 7 Dans le respect de la charte du cavalier de la FFE – A pied tourner à la longe un cheval ou un poney enrêné, utiliser les longues rênes au pas et au trot.– En selle > Être assis dans une bonne posture dans les enchaînements de mouvements. > Mettre son cheval sur la main, l’incurver sur les courbes aux trois allures et galoper à faux sur des courbes de 20 mètres. > Effectuer des transitions galoppas, reculer. > Effectuer une épaule en dedans ou une contre épaule en dedans au trot. > Présenter les reprises de dressage Club 2 et enchaîner des parcours de CSO ou de Hunter type club 1. > Enchaîner des obstacles en extérieur et en terrain varié. > Détendre son cheval sur le plat en autonomie dans le respect des consignes données. ÉQUITATION Pratique équestre à pied – Travailler à la longe un cheval ou poney enrêné.– Utiliser les longues rênes au pas et au trot en cercle et en ligne droite, de côté ou derrière et changer de main.– Marcher et trotter en main avec le cheval dans une mise en main élémentaire. Pratique équestre à cheval – Avoir son cheval sur la main au trois allures.– Pouvoir le mettre rond et bas au pas et au trot– Incurver son cheval sur les courbes et des inversions de courbes– Varier l’amplitude aux 3 allures et enchaîner des transitions.– Effectuer l’échauffement détente de son cheval en respectant les consignes de son enseignant. Partie spécifique Dressage – Être assis dans une posture juste et dynamique adaptée à l’enchaînement des différents mouvements et au travail du cheval. – Réaliser des cercles et des serpentines de 10 m de diamètre au trot dans l’incurvation. – Réaliser des cercles de 10 à 15 m de diamètre au galop dans l’incurvation. – Effectuer des transitions galop-pas-galop. – Partir au contre galop à partir du pas. – Réaliser des courbes de 20 m de diamètre au contre galop. – Effectuer une épaule en dedans ou une contre épaule en dedans au pas et au trot des deux côtés. – Reculer de 3 à 5 pas en repartant immédiatement. – Enchaîner des mouvements en maintenant une cadence régulière dans chaque allure. – Maintenir la bonne vitesse de chaque allure dans des enchaînements de mouvements. – Diriger sur un tracé précis dans un enchaînement de mouvements. – Pouvoir monter en bride. Présenter dans une bonne posture • une reprise Galop 7 de niveau Club 1 ou d’épreuve Poney équivalente • et un enchaînement de mouvements Galop 7 du type de ceux de la Préliminaire Dressage Club 1 Partie spécifique Obstacle – Être stable et liant sur des dispositifs variés de sauts rapprochés hauteur environ 1,10. – Être stable et adapter son équilibre sur des enchaînements de sauts. – Galoper dans une cadence régulière, une vitesse et un équilibre adaptés en enchaînant des sauts à 100 cm. – Adapter l’amplitude des foulées en fonction de l’enchaînement et du tracé. – Diriger sur un tracé précis en enchaînant des sauts. – Changer de pied dans le mouvement sur la courbe Enchaîner des parcours à 100 cm avec des distances et des combinaisons variées. Enchaîner avec fluidité un parcours CSO de niveau Club 1 ou Hunter Club 1 ou épreuve Poney équivalente Partie spécifique Cross – Être stable et adapter son équilibre sur des sauts rapprochés et sur des sauts en terrain varié. – Contrôler, varier et adapter sa vitesse au profil des obstacles et du terrain. – Diriger pour franchir des obstacles directionnels ou de biais, des combinaisons et des successions d’obstacles nécessitant une conduite précise – Enchaîner des obstacles de cross de tout type à 90 cm en terrain varié avec des combinaisons. Réaliser avec fluidité un enchaînement d’obstacles de cross de niveau Club 1 ou épreuve Poney équivalente SOINS Partie spécifique – Démonter, remonter et ajuster une bride. Partie commune – Poser des bandes de polo. CONNAISSANCES Connaissances générales

Commepromis, voilà un article qui vous apprendra comment faire faire la révérence à votre cheval. Cet exercice demande beaucoup de patience et de récompenses. Ne vous attendez pas à le faire saluer en deux séances d'une heure!! Quand un cheval exécute une révérence, il peut soit reculer les postérieurs, soit avancer les antérieurs. 3 participantsAuteurMessageophelieMessages 52Date d'inscription 02/08/2010Sujet comment apprendre a son cheval la révérence Mar 10 Aoû - 1257 j'aimerai savoir comment je peux apprendre a mon cheval a faire la révérence BeautifulxHoorseMessages 28Date d'inscription 02/08/2010Age 30Localisation BelgiqueSujet Re comment apprendre a son cheval la révérence Jeu 19 Aoû - 2029 Je ne suis pas une "pro" pour tout ce qui est travail au sol. Et pourtant je voudrais bien apprendre quelques tours à un cheval...Alors j'avais déjà commencé à apprendre la révérence à Iris mais elle avait du mal à comprendre donc je ne suis pas arrivée au bout de l'exercice xS. Voici ma méthode x Place-lui une carotte ou une friandise au niveau du passage de sangle. x Amène-le à enrouler son encolure pour qu'il vienne prendre la carotte. x Tu peux lui prendre un antérieur qu'il va poser au sol en descendant. L'autre va rester tendu. x Associe ces gestes à un code verbal qu'il reconnaitra au fur et à mesure de l'apprentissage. x Le plus dur est de "forcer" le cheval à garder la position de la révérence quelques secondes. Il ne faut pas vouloir faire tout d'un coup mais habituer le cheval aux différents gestes. Et une fois qu'il a compris le premier geste, passe au suivant. Et ainsi de suite...Voilà, j'espère que ça va t'aider. JustinetteAdminMessages 66Date d'inscription 01/08/2010Age 30Sujet Re comment apprendre a son cheval la révérence Ven 20 Aoû - 2129 Cette méthode est parfaite Je n'aurais pas dis mieux ...J'ajouterais seulement que en plus de faire étape par étape, il faut féliciter dès qu'on a le moindre petit résultat qui va dans le bon sens ! ophelieMessages 52Date d'inscription 02/08/2010Sujet Re comment apprendre a son cheval la révérence Mer 25 Aoû - 2016 merci beaucoup Contenu sponsoriséSujet Re comment apprendre a son cheval la révérence comment apprendre a son cheval la révérence Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum metteznous des photos et expliquez comment vous avez fait. Les expatriés de la FFE: Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Un forum tout beau tout neuf pour les personnes qui n'auront plus accès a celui de la FFE dès le 15 mai! Accueil Rechercher . S'enregistrer Connexion : Les expatriés de la FFE :: Le Web regorge de conseils pratiques pour la vie quotidienne. Ici, on apprend avec une adolescente – sincère – à dire au revoir à son cheval. Un parcours parsemé de questions difficiles mais jusqu’où se battre quand on a 16 ans ? » et de fôtes. On rit mais on ne se moque pas, hein. Voir la vidéo La suite après la publicité Un grand merci à Dauphindu38 pour cette trouvaille !

LaRÉVÉRANCE Le cheval a un genou au sol et l autre bien tendu devant et la tête basse, voila un tour très impressionnant et qui ébahi n importe qui, qui voit c

Mis à jour le 7 février 2020 Si vous avez un cheval, ou même plusieurs, vous n’êtes pas sans savoir qu’il est important de bien s’en occuper, au même titre qu’on le ferait pour d’autres animaux de compagnie tels que les chiens ou les chats etc .. Dans l’article du jour, nous allons voir en trois points comment bien s’occuper de ses chevaux, notamment et surtout en revenant sur les abris, les soins et la nourriture. Abriter ses chevaux Un point crucial lorsque l’on a un cheval, c’est de l’abriter. Tout le monde ne possède pas forcément un box à cheval, ou n’a pas d’écurie à proximité pour loger son animal. Ainsi donc, un abri chevaux peut s’avérer intéressant, surtout si vous avez du terrain chez vous, et que vous préférez voir votre équidé non loin de vous la nuit. Certains modèles sont déplaçable mobiles, tandis que d’autres non. Je vous suggère un abri suffisamment grand, afin que votre monture ai assez d’espace, mais aussi et également afin de pouvoir y placer un râtelier à foin. Nourrir ses chevaux Le deuxième point le plus important après l’abri et donc la sécurité de votre cheval, est sans aucun doute la nourriture. Comme toute bête, ou même humain, les chevaux ont besoin de manger, et surtout de bien manger. Outre les granules, avoine et autre herbes, un des aliment les plus courant de l’alimentation du cheval est le foin. Comme je vous disait plus haut, au sein de l’abri, il est important de pouvoir placer un ratelier chevaux. Qui permet en outre , de disposer du foin à l’intérieur, et à votre monture de se ravitailler en tout temps. Il ne faudra pas oublier de nettoyer le ratelier de temps en temps, ne serait-ce que les barreaux, et bien sur à changer et renouveler le foin à l’intérieur. Hydrater ses chevaux Point bonus mais non négligeable, l’hydratation, car un cheval ça boit, et ça boit même beaucoup ! Ainsi, en plus du ratelier, au sein de l’abri, je vous suggère fortement de rajouter un abreuvoir, qui tout comme le ratelier, permettra à votre animal, de boire en tout temps et à sa soif. Soigner ses chevaux Et par soins j’entends surtout les soins classiques, tel que les fers à cheval, le brossage de la crinière et autre dans ce genre. Car un cheval, ça ce bichonne au même titre que tout autre animal de compagnie. On oubliera pas donc d’en prendre soin et de bien s’en occuper. Que cela soit une question de lavage de son poil, la taille de sa crinière, le changement de ses fers, ou une question du dentiste et du vétérinaire, car la santé c’est très important aussi. Mais ce n’est pas la question du jour, je verrais de faire un autre article plus tard. En bref, ma conclusion Alors oui, bien s’occuper de son cheval ne se résume pas qu’à ces trois points, ni même et uniquement en un abri cheval, un ratelier à foin, ou un beau pelage. Il est surtout énormément question d’amour, d’attention et de temps. Le cheval est le plus vieux animal de compagnie de l’homme, et sa fidélité ne serait rien, si l’homme ne s’en occupait pas aussi bien. Alors ne brisez pas le cycle, et continuez en ce sens. avg. rating 0% score - 0 votes

^{Toursn°1 : La jambette :) Tours n°1 : La jambette. :) Friandise -> Puis par la suite cravache (à bout épais) -> Puis stick de dressage (ou autre dans le meme genre) Tapoter a l' endroit de votre choix pour qu' il leve l' anterieure, une fois qu' il le leve lui prendre la jambe de son cheval, la "tirer" avec delicatesse biensur vers l}

Pour répondre à une question qu'on m'a beaucoup posé, voici comment j'ai appris à Naïade à se cabrer. A pied Ca doit maintenant faire environ un peu plus d'un an et demi que je le lui ai appris. A cette époque, cela faisait quelques mois que j'avais abandonné la méthode classique pour la méthode du Haras de la Cense. Sans vraiment pratiquer le travail en liberté dans les règles de l'art » lol, je jouais souvent avec Naïade dans le champ. Je lui demandais de me suivre au pas et au trot en liberté avec quelques bouts de carottes dans mes poches !!! mdr. Et il y avait des jours où elle était plus énergique que les autres où lorsque je faisais un changement brusque de direction, elle faisait un espèce de demi tour sur les hanches en levant donc en même temps ses deux antérieurs. Je sentais bien que je pouvais facilement lui apprendre le cabré mais vu que je ne m'y connaissais pas trop, je me demandais si c'était bien raisonnable !!!mdr En fait j'avais surtout peur qu'elle l'utilise en tant que défense après et que ça devienne dangereux... Mais finalement, je me suis décidée à le lui apprendre. Je lui demandais donc de me suivre au trot et à un moment, je changeais brusquement de direction et là, si elle levait ses deux antérieurs en même temps pour changer elle aussi de direction. Je donnais du confort arrêt et je récompensais carotte !!!. Du coup, elle a rapidement compris ce que j'attendais elle et elle a commencé à lever de plus en plus haut ses antérieurs lors des changements de direction quand je mettais de l'énergie vers le haut lever les bras par exemple. A ce moment là, elle savait donc se cabrer mais uniquement lorsque je changeais de direction, pas face à moi... Au bout d'un temps assez court, elle a compris que lorsque je mettais de l'énergie en moi et que je levais les bras ou le stick en l'air, il fallait qu'elle se cabre face à moi. Maintenant dès que je lui demande de le faire, Naïade répond aussitôt. Cependant, ses cabrés sont assez inégaux selon ses humeurs. Lorsqu'elle est un peu énervée genre quand il y a du vent, elle me fait des superbes cabrés et se cabre parfois très haut !!! Mais par contre, quand elle est bien calme et pas très motivée pour bouger, elle se cabre mais sans grand enthousiasme... c'est un peu molasson quoi !!!lol Mais globalement, je pense que c'est un exercice qu'elle prend plaisir à faire !!!! A cheval Pour ce qui est du cabré à cheval, je le lui ai appris après y avoir un peu réfléchi... Pareil que précédemment, je craignais que Naïade l'utilise comme défense même si elle ne l'avait jamais fait à pied. Finalement, je me suis laissé tenter !lol Elle a très très vite compris que lorsque je mettais des jambes et que je la retenais avec mes mains, il fallait qu'elle se lève. Maintenant, je n'utilise plus ces aides là. En utilisant la même aide vocale à pied et à cheval hop ! je lui ai appris à le faire en donnant un coup de talon ou plutôt coup de molet »...lol Cela me permet de le lui demander en totale liberté sans cordelette ni stick je dis hop », du coup, elle se prépare et tout de suite après, je ferme mes jambes rapidement et moins progressivement que pour des transitions et là elle se lève. Donc voilà comment j'ai appris le cabré sur demande à ma jument. Je ne sais pas si ça va vous aider mais je souhaite bonne chance à ceux qui vont essayer avec leur cheval !!!! En tout cas, je ne regrette pas de l'avoir appris à Naïade car finalement, le fait de lui avoir appris le cabré ne m'a jamais desservi !!! Posted on Sunday, 31 December 2006 at 1219 PM

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